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Chez Vélorizons, on adore le gravel autant qu’on adore les Grandes Alpes et leurs paysages grandioses. De là, rien de plus logique que marier ces deux penchants et vous concocter un grand voyage « gravel en montagne ». Partez sur une traversée inédite à la découverte de vallées verdoyantes, d’alpages fleuris et de cols sauvages des Alpes françaises du Nord. Nous sortons des itinéraires classiques souvent fréquentés comme ceux de la Madeleine ou du Galibier pour une aventure hors norme. Du Lac Léman à la Haute ville de Briançon, c’est un savant mélange de petites routes, de pistes d’alpages et d’anciens chemins militaires qui nous attend. A bord de nos montures gravel, défiant tout type de terrain, nous découvrons les parties les plus sauvages des massifs du Chablais, du Beaufortain, de la Vanoise et des Cerces. L’arrivée dans les Alpes du Sud sous l’œil du Mont Thabor marquera à la fois la fin de cette grande aventure « gravel » et certainement nos esprits. Vous êtes du genre grande aventure alpine ? Alors n’hésitez pas.
Si vous connaissez déjà les Alpes en vélo de route, alors vous avez sûrement de très bons souvenirs des grands cols alpins, des paysages majestueux et des panoramas à couper le souffle. Mais certaines routes et cols classiques, en particulier sur la Route des Grandes Alpes, sont souvent très fréquentés. A l'aide des montures gravel (voir aussi l'onglet informations pratiques), il devient possible de s'écarter du trafic et des grands itinéraires pour nous permettre de vivre une expérience plus originale et authentique. Les Alpes regorgent de petites routes perdues, de chemins d'alpages et d'anciens pistes militaires où la quiétude règne encore. Ce circuit emprunte autant que possible de ces derniers, notamment pour franchir des cols secondaires.
Les pentes sur ce circuit peuvent excéder ponctuellement les 15 %. On sera donc plus à l'aise avec un développement de type gravel (soit en double plateaux sub-compact 30/46 ou 28/44 et cassette 11/34 environ, soit en mono plateau 42 et une cassette 11/42). Un ratio maximum de 1 entre plus petit plateau et plus grand pignon est fortement conseillé pour les montées (si vous avez moins, c'est encore mieux), de même qu'une section de pneus minimum de 40mm. Le terrain peut être technique par endroit (passages de rigoles sur les pistes, passages à gué, chemins en mauvais état...)
Certains de nos circuits Gravel sont déclinés en plusieurs variantes de niveau, allant de 1 à 3. Lorsque des variantes sont disponibles, vous en trouvez le détail (distance et dénivelée) dans le programme du circuit, jour par jour.
Dans le cas des circuits avec variantes, quelque soit celle que vous avez choisie, les hébergements sont les mêmes (sauf quelques rares exceptions énoncées clairement dans la fiche descriptive). Ainsi, chaque matin, vous pouvez choisir celle qui vous convient.
Départ matinal pour notre grande aventure de « gravel en montagne ». Des rives du Lac Léman, les premiers coups de pédale nous font rapidement gagner de la hauteur sur des petites routes sinueuses. Une belle mise en jambe ! Peu après, les premiers chemins graveleux nous attendent à travers champs et petits bosquets. Après la traversée de la Dranse, nous filons plein sud en suivant la vallée principale, toujours en alternant petites routes et chemins. Nous nous retrouvons bientôt à Morzine, station-village en plein cœur des montagnes du Chablais. La première vraie difficulté nous attend juste après : une longue montée sur chemin d’abord dans la forêt puis rapidement sur des alpages jusqu’à un col à plus de 1 600 m d’altitude… L’ambiance au pied des sommets de plus de 2400 m est grandiose ! Suit une première descente sur chemin d’alpage qui se transforme rapidement en petite route, sur laquelle nous pouvons lâcher un peu plus les freins pour enfin arriver à Samoëns, notre village d’étape. Soirée et nuitée en hôtel.
L’itinéraire du niveau 3 emprunte une vallée plus sauvage à l’est avec le passage d’un col sur piste supplémentaire à presque 1 800 m d’altitude au cœur de la station des Portes du Soleil, avant de descendre sur Morzine.
Portions goudronnées : env. 65% / Portions non goudronnées : env. 35%
Aujourd’hui, cap sur le Massif du Mont Blanc, encore caché par les impressionnantes cimes du Haut-Giffre. Pour passer dans la vallée de l’Arve et rejoindre notre destination, nous devons d’abord franchir le massif de Platé. Nous attaquons une première montée de 10 km sur une petite route en direction de la station de Samoëns ; puis nous longeons les crêtes à travers des pistes d’altitude. Les vues sur la vallée du Giffre au-dessous et les montagnes du Chablais au nord sont époustouflantes. Sur des pistes en sous-bois nous entamons la longue descente dans la vallée, en profitant un maximum des pistes à flanc des montagnes. La dernière partie se passe sur route, avant d’arriver en fond de vallée et de mettre le cap sur Sallanches puis les Contamines. La dernière partie est très roulante et se fait majoritairement sur de petites routes. Dernière montée aux Contamines jusqu’à 1 200 m, niché entre le Mont Blanc (4 810 m) et les crêtes du Mont Joly (2 525 m). Soirée et nuitée en hôtel au plus près des neiges éternelles.
Sur le niveau 3, nous passons par les hauteurs de Passy pour nous enfoncer encore plus dans la vallée de l’Arve, en direction de Chamonix. Par une petite route nous arrivons bientôt au pied de notre dernier défi : un col à franchir sur des pistes raides qui nous permet d’accéder au vallon de Bionnassay par lequel nous arrivons aux Contamines.
Portions goudronnées : env. 70% / Portions non goudronnées : env. 30%
Aujourd’hui, deux grosses montées en mode gravel nous attendent. D’abord la piste sinueuse du Col du Joly, qui nous amène à presque 2 000 m d’altitude. Vues spectaculaires sur les montagnes du Massif du Mont Blanc. Ici, on pousse la porte du Beaufortain avec ses alpages et chalets typiques. Descente rapide sur route jusqu’à Beaufort dans la vallée du Doron, chef-lieu et siège de la coopérative laitière (pour les amateurs de fromage !). Nous entamons ensuite la deuxième partie de la journée avec la longue montée en direction du petit village d’Arêches et du lac de Saint Guérin. Sur une route qui devient de plus en plus petite, nous grimpons à travers des jolis hameaux avant de nous enfoncer dans la forêt. Pause obligatoire au barrage, entourés des sommets les plus reculés du Beaufortain qui nous séparent encore de la vallée de la Tarentaise. En route pour les dix derniers kilomètres de montée dans un cadre alpestre ; nous passons le joli Lac des Fées puis arrivons au sommet du Cormet d’Arêches à 2 100 m d’altitude. Possibilité de prendre un verre au refuge avant d’entamer la longue descente de 1 400 m de dénivelée négative vers Aime, d’abord sur piste, puis sur route. Soirée et nuitée en hôtel.
Portions goudronnées : env. 75% / Portions non goudronnées : env. 25%
Une fois n’est pas coutume, aujourd'hui une étape plus courte sans changement de vallée nous attend. Nous restons dans la vallée de l’Isère, au pied des hauts sommets du Parc National de la Vanoise. Nous commençons par une montée sur le versant sud, celui du soleil. Il s'étend de 600 m jusqu'aux alpages et crêtes entre 2 000 et 2 300 m d'altitude ! Les hameaux sur ce versant ont su garder leur charme authentique. Ensuite, sur le niveau 2, nous jouons sur des petites routes et chemins (en montée et en descente) pour éviter les ravins creusés profondément par les ruisseaux sur ce versant. Après une bonne montée sur petite route jusqu’à un col méconnu, nous prenons une piste forestière qui nous permet de rallier la commune de Grand-Aigueblanche où nous franchissons l'Isère pour changer de versant. Nous cherchons une petite route perdue qui nous amène par une montée douce mais sinueuse et des chemins de traverse à la station familiale de Valmorel. Nuit en hôtel en altitude.
Sur le niveau 3, nous profitons pleinement de toute l'ampleur que nous offre ce versant du soleil. Nous grimpons par une petite route de plus en plus raide dans la forêt qui prend fin dans les alpages après une magnifique finale en lacets. Ensuite, nous gagnons en altitude sur des pistes à travers les alpages, avec des vues imprenables sur les montagnes du massif de la Vanoise. Une piste en balcon qui permet de souffler et profiter, avant d'attaquer la montée finale vers le plateau du Bozon. Situé à 2 000 m d'altitude, c'est un paysage de la Mongolie qui nous attend, sur fond alpin. Descente sur piste vers la petite station de ski de fond et bucolique de Naves, où on retrouve le goudron et le tracé du niveau 2.
Portions goudronnées : env. 70 % / Portions non goudronnées : env. 30%
Une grande journée s'annonce, avec deux variantes au choix au départ de Valmorel. La première variante typée "gravel en montagne" monte par les pistes d’altitude de Valmorel jusqu’à 2 100 m, d'où nous rallions le célèbre Col de la Madeleine (en descente), qui sépare le Massif de la Vanoise de la Lauzière. Ambiance haute montagne sur cette piste en balcon, sous la silhouette du Cheval Noir (2 832 m) et ses cascades, avec toute la chaîne de la Lauzière en face de nous et des vues sur le Mont Blanc au loin. La deuxième option passe par la montée du côté nord du col de la Madeleine (plus roulante mais aussi plus longue). Depuis Valmorel et par des petites routes et chemin de traverse (portions non-goudronnées), nous changeons de vallée et récupérons la route du col au niveau d'un petit hameau. Restent alors 14 km et 1 000 m à monter sur ce grand classique du Tour de France.
Après 2 km de descente sur le versant sud du col, nous nous lançons sur une piste d'altitude qui traverse la station de St François Longchamp et nous permet d’accéder à un petit vallon préservé. Nous voilà sur les balcons ensoleillés de la vallée de la Maurienne. Dans la descente, le chemin d'alpage devient petite route qui nous amène ensuite au Col de Chaussy, lui aussi bucolique. Passage au-dessus des fameux lacets de Montvernier et descente sur des routes étroites et sinueuses jusqu’à Saint Jean de Maurienne. 8 km de plat pour traverser la ville et retrouver le départ de notre montée vers notre destination : Valloire ! Aujourd’hui, nous laissons le Col du Télégraphe de côté en empruntant un itinéraire sur l’autre versant, côté massif des Arves, avec un passage sur piste obligatoire. Fin de cette étape dans l’agréable station-village de Valloire à 1 400 m d’altitude, au pied du mythique Col du Galibier.
Portions goudronnées : env. 85% / Portions non goudronnées : env. 15% (pour la variante "Madeleine", pour la variante "Valmorel" +15% de portions non goudronnées)
Aujourd’hui, dernière étape : le point culminant de ce voyage et la traversée dans les Alpes du Sud par un très ancien passage alpin, tout de même ! D’abord une petite mise en jambe en alternant route et chemins en direction du Col du Galibier. Les Rochers de la Pare et le Grand Galibier nous font de l’œil. Quelques coups de pédale plus tard nous quittons la route du Galibier pour une ancienne piste militaire. Elle serpente dans les pentes herbeuses pour arriver à un ancien camp puis un col à 2 500 m d’altitude dans un cadre somptueux. C’est notre ultime défi, mais l’arrivée au Col des Rochilles dans un cadre de montagne vierge et grandiose avec des lacs d'altitude couleur vert-émeraude en vaut largement la peine.
Après la descente du col sur sentier qui présente quelques passages techniques avec marche et poussage du vélo obligatoire (env. 45 min, c'est alpin !), nous nous retrouvons sur une piste d'alpage dans la magnifique vallée de la Clarée. Toujours en descente, nous rallions notre premier village haut-alpin : Névache. Plus loin, nous changeons de rive pour récupérer une piste qui nous permet d’arriver dans la Haute ville de Briançon par les impressionnantes fortifications de Vauban. Fin de notre voyage en terrasse dans la vieille ville, autour d’un verre bien mérité. Séparation à la gare de Briançon.
Pour ceux qui ne souhaitent pas passer par l'option technique du Col des Rochilles, nous proposons l'option plus classique qui passe par la route du Col du Galibier (2 642 m), non moins impressionnante. Après la descente au col du Lautaret, nous rallions Briançon par des pistes et chemins pour éviter la grande route.
Portions goudronnées : env. 45% / Portions non goudronnées : env. 55% (pour la variante Rochilles, certaines portions dans la vallée de la Clarée peuvent être évitées facilement ; portions non goudronnées aux alentours de 10% pour la variante Col du Galibier)
Les distances et dénivelées sont données à titre indicatif.
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