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Combien de régions françaises peuvent se targuer de posséder à la fois un climat aussi ensoleillé (300 jours de soleil par an…), un environnement montagneux aussi splendide et imposant, et un réseau de sentiers aussi adapté au VTT ? Bienvenue en Queyras ! Ici, notre sport favori se cuisine quasi exclusivement à la sauce « Single Tracks » alternant balcons, crêtes et grandes descentes…Un itinéraire magique 100% « Montagne » qui sillonne les vallées oubliées et les cols du Queyras, permettant aussi la découverte de nombreux forts et villages fortifiés édifiés par Vauban…A la clé, de superbes descentes sur single tracks qui laisseront leur emprunte dans les souvenirs de tous les VTTistes !
Bienvenus au coeur du Queyras ! Nous nous retrouvons dans la vallée du Guil, rivière tumultueuse qui scinde le massif du Queyras en deux parties. Les quelques jours de VTT qui nous attendent vont nous permettre de rouler sur les plus beaux sentiers du massif, que ce soit au nord au sud de la limite naturelle que représente la vallée du Guil. Le sud d'abord ! Nous partons à l'attaque du coeur du parc naturel du Queyras, dont une des portes à franchir sera pour nous le col de Chamoussière puis le col Vieux. La montée impose de fréquents poussages, mais c'est l'occasion d'ouvrir grands les yeux et d'admirer les premières faces imposantes qui se dressent devant nos pneus. La couleur un peu bleutée des montagnes queyrassines est très particulière, et très esthétique. Nous ne sommes pas loin de la frontière avec l'Italie, le Queyras représentant, à l'instar de la Vanoise ou du Mercantour, un poste frontière naturel. Passage à Saint Véran, célèbre pour être qualifiée de "plus haute commune de France" et à l'architecture queyrassine très marquée : cadrans solaires, toits en lauze et en tavaillons, fontaines...le village est vraiment splendide. Nous poursuivons dans le sens de la montée jusqu'à atteindre le col de Chamoussière, puis, après une courte descente et une remontée un peu "bataille", le col Vieux. Nous sommes, à vol d'oiseau, à quelques centaines de mètres de l'Italie. La montagne pyramidale du Pain de Sucre nous fait de l'oeil, et tente de cacher son grand frère le Viso, juste derrière. Mais pour nous, il s'agit maintenant de profiter d'une descente mémorable en terrain de montagne...le sifflement des marmottes aidant, nous traversons la succession de lacs d'altitude qui nous sépare de l'amont du Guil, aux environs de Ristolas, où nous retrouvons notre gîte, dans un lieu paradisiaque...
Attention: l'accès au vallon des lacs (à partir du col vieux et jusqu'à l'Echalp) est interdit aux VTT de 8h à 15h (planning visant à éviter les conflits d'usage). Vu le programme de la journée, peu de chance d'y être avant 15h00, mais si jamais prévoir une pause boisson au refuge Agnel !
Distance parcourue : env. 40 km / dénivelée positive : env.1800 m
Le vrombissement du Guil sera de retour dès que nous mettrons le nez dehors ce matin. Parti du Mont Viso, il est déjà puissant et capricieux. Il nous sert de guide pour cette première partie de matinée, car nous roulons parallèlement à son lit, jusqu'à retrouver Château Queyras. L'échauffement étant terminé, nous attaquons la partie montant de cette journée. Pour nous motiver, pensons que la descente qui nous attend n'est rien de moins qu'une des 5 plus belles de tout le massif... Tout d'abord par une petite route montante, permettant de gagner quelques centaines de mètres assez vite, puis par une piste ombragée, la vue s'ouvre petit à petit...Le Pic de Rochebrune nous toise, nous défie. Nous baissons les yeux devant lui, car nous ne relèverons pas le défi avec nos vélos ! Nous montons à près de 2350 m, dans une ambiance "haute montagne" incomparable...Un superbe single track en balcon nous permet de contourner une croupe, derrière laquelle nous attend LA descente sur Souliers, la fameuse qui justifie à elle seule d'avoir avalé ce dénivelé. Nous nous élançons dans cette descente, avec le sourire aux lèvres que nous garderons jusqu'en bas : sentier étroit mais très roulant, alternant parties rapides et épingles faciles, les troncs des Mélèzes défilent dans notre champ de vision, le freinage est précis et le placement de roue aussi. Nous avons tous le bonheur au bout du guidon ! Arrivés à Souliers, joli petit village de montagne à la fontaine revigorante. Descente sur Arvieux, sur la route de l'Izoard, puis à Villard Gaudin où un bon repas chaud nous attend déjà !
Distance parcourue : env. 50 km / dénivelée positive : env.1450 m
Perché au dessus de la vallée du Guil, notre gîte s'éloigne tout doucement de notre champ de vision, au fur et à mesure que nous nous élançons à la conquête de notre difficulté du jour : le col de Furfande (2500m). Une ascension de 900m sur piste...sur le papier, cela paraît vraiment difficile. En réalité, il s'agit de la seule partie montante de cette journée, que nous réalisons le matin, à notre rythme. Les deux tiers du dénivelé se font sous les bois, offrant une fraîcheur de l'air qui favorise notre "grimpette". Et puis...comme nous avons appris à le constater dans le Queyras, on ne monte jamais pour rien ! Que ce soit pour le splendide panorama du haut du col de Furfande, depuis lequel il nous est possible de dessiner au doigt notre itinéraire du premier jour, où bien la mythique descente qui s'en suit, nous ne regrettons jamais les "bavantes". Descente sur single track puis itinéraire à profil descendant jusqu'au col de la Lauze. La fin est proche...nous continuons notre dévalade avant de rejoindre le point de départ de ce week end, à Château Queyras.
Distance parcourue : env. 40km / dénivelée positive : env. 1900 m
Les distances et dénivelées sont données à titre indicatif.
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Bienvenus au coeur du Queyras ! Nous nous retrouvons dans la vallée du Guil, rivière tumultueuse qui scinde le massif du Queyras en deux parties. Les quelques jours de VTT qui nous attendent vont nous permettre de rouler sur les plus beaux sentiers du massif, que ce soit au nord au sud de la limite naturelle que représente la vallée du Guil. Le sud d'abord ! Nous partons à l'attaque du coeur du parc naturel du Queyras, dont une des portes à franchir sera pour nous le col de Chamoussière puis le col Vieux. La montée imose de fréquents poussages, mais c'est l'occasion d'ouvrir grands les yeux et d'admirer les premières faces imposantes qui se dressent devant nos pneus. La couleur un peu bleutée des montagnes queyrassines est très particulière, et très esthétique. Nous ne sommes pas loin de la frontière avec l'Italie, le Queyras représentant, à l'instar de la Vanoise ou du Mercantour, un poste frontière naturel. Passage à Saint Véran, célèbre pour être qualifiée de "plus haute commune de France" et à l'architecture queyrassine très marquée : cadrans solaires, toits en lauze et en tavaillons, fontaines...le village est vraiment splendide. Nous poursuivons dans le sens de la montée jusqu'à atteindre le col de Chamoussière, puis, après une courte descente et une remontée un peu "bataille", le col Vieux. Nous sommes, à vol d'oiseau, à quelques centaines de mètres de l'Italie. La montagne pyramidale du Pain de Sucre nous fait de l'oeil, et tente de cacher son grand frère le Viso, juste derrière. Mais pour nous, il s'agit maintenant de profiter d'une descente mémorable en terrain de montagne...le sifflement des marmottes aidant, nous traversons la succession de lacs d'altitude qui nous sépare de l'amont du Guil, aux environs de Ristolas, où nous retrouvons notre gîte, dans un lieu paradisiaque...
Attention: l'accès au vallon des lacs (à partir du col vieux et jusqu'à l'Echalp) est interdit aux VTT de 8h à 15h (planning visant à éviter les conflits d'usage). Vu le programme de la journée, peu de chance d'y être avant 15h00, mais si jamais prévoir une pause boisson au refuge Agnel !
Distance parcourue : env. 40 km / dénivelée positive : env.1800 m
Le vrombissement du Guil sera de retour dès que nous mettrons le nez dehors ce matin. Parti du Mont Viso, il est déjà puissant et capricieux. Il nous sert de guide pour cette première partie de matinée, car nous roulons parallèlement à son lit, jusqu'à retrouver Château Queyras. L'échauffement étant terminé, nous attaquons la partie montant de cette journée. Pour nous motiver, pensons que la descente qui nous attend n'est rien de moins qu'une des 5 plus belles de tout le massif... Tout d'abord par une petite route montante, permettant de gagner quelques centaines de mètres assez vite, puis par une piste ombragée, la vue s'ouvre petit à petit...Le Pic de Rochebrune nous toise, nous défie. Nous baissons les yeux devant lui, car nous ne relèverons pas le défi avec nos vélos ! Nous montons à près de 2350 m, dans une ambiance "haute montagne" incomparable...Un superbe single track en balcon nous permet de contourner une croupe, derrière laquelle nous attend LA descente sur Souliers, la fameuse qui justifie à elle seule d'avoir avalé ce dénivelé. Nous nous élançons dans cette descente, avec le sourire aux lèvres que nous garderons jusqu'en bas : sentier étroit mais très roulant, alternant parties rapides et épingles faciles, les troncs des Mélèzes défilent dans notre champ de vision, le freinage est précis et le placement de roue aussi. Nous avons tous le bonheur au bout du guidon ! Arrivés à Souliers, joli petit village de montagne à la fontaine revigorante. Descente sur Arvieux, sur la route de l'Izoard, puis à Villard Gaudin où un bon repas chaud nous attend déjà !
Distance parcourue : env. 50 km / dénivelée positive : env.1450 m
Départ de Villard Gaudin en mettant le cap au nord, en direction du col de l'Izoard, une des portes d'entrée du massif du Queyras. Nous remontons le torrent de l'Izoard en alternant passages en forêts et en lisière de champs, les rares champs cultivés des ces vallées de montagne. Nous effleurons Brunissard, dernier bastion habité avant le col fameux du Tour de France, mais divergeons rapidement pour partir à rouler sur un itinéraire en boucle avec pour phare le Pic du Béal Traversier. Là encore, ambiance haute montagne assurée ! Passages aux bucoliques chalets de Clapeyto, au col du Néal (2509m), avant de redescendre par un itinéraire tantôt technique (mais pas trialisant), tantôt plus roulant, comme le Queyras en compte tant. Retour à et nuit à Arvieux.
Distance parcourue : env. 40km / dénivelée positive : env. 1800 m
Au départ d'Arvieux, montée tonique par single track dans la forêt, avant de retrouver la piste qui nous mène au col de Furfande. Une ascension de 900m sur piste...c'est la première partie montant de la journée, que nous réalisons le matin, à notre rythme. Les deux tiers du dénivelé se font sous les bois, offrant une fraîcheur de l'air qui favorise notre "grimpette". Et puis...comme nous avons appris à le constater dans le Queyras, on ne monte jamais pour rien ! Que ce soit pour le splendide panorama du haut du col de Furfande, depuis lequel il nous est possible de dessiner au doigt notre itinéraire du premier jour, où bien la mythique descente qui s'en suit, nous ne regrettons jamais les "bavantes". Descente sur single track puis itinéraire à profil descendant jusqu'au col de la Lauze. Descente dans la vallée puis remontée de 450 m de dénivelée pour rejoindre le bucolique lac de Roué. Petite partie de montagnes russes, puis nous nous approchons de la fin du périple..Superbe dernière dévalade sur single track avant de rejoindre le point de départ de ce week end, à Château Queyras.
Distance parcourue : env. 40km / dénivelée positive : env. 1900 m
Les distances et dénivelées sont données à titre indicatif.
Note moyenne des voyageurs :
