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Les Causses... Peu d'endroits en France incarnent autant les grands espaces. La découverte en profondeur de cette région merveilleuse et sauvage nous permettra d'en vérifier le bien-fondé ! Entre Causse Méjean, Causse Noir et Causse du Larzac, causse du Sauveterre, sous le regard des vautours fauves, nous évoluons dans de vastes étendues arides, au milieu de paysages à la fois rudes et poétiques. A chaque extrémité de ces plateaux, de profondes gorges marquent nettement la frontière entre les causses. Voilà autant d'occasions de pimenter notre progression et de profiter de belles descentes sur des sentiers à la fois joueurs et panoramiques ! Les célèbres gorges du Tarn, les élégantes de la Jonte, les sauvages de la Dourbie sont tout aussi remarquables admirées depuis les hauteurs que lorsque l'on y roule en fond de vallée, dans un tête à tête avec ces rivières tantôt calmes, tantôt tumultueuses. Depuis des millénaires, l'eau a façonné ces paysages étranges, déchiquetant la roche calcaire et créant rochers ruiniformes ; falaises sculptées ; grottes. Cet ensemble forme un décor mystérieux et fantastique où rouler n'est jamais monotone. Mais que seraient ces espaces sauvages sans la marque discrète de la présence humaine ! La découverte des pittoresques hameaux perdus et des villages classés tels que Sainte Enimie ; Castelbouc ; Saint Chély du Tarn que l'on traversera au cours de notre périple, constituera en quelques sortes la cerise sur le plateau de ce périple caussenard...
Nous quittons la petite ville de Nant et la vallée de la Dourbie grâce à un sentier à flanc de montagne, sous le regard de la curiosité géologique du coin, le Roc Nantais. Nous prenons pied sur le tout petit causse Bégon et franchissons successivement les cols de la Pierre Plantée et des Rhodes. Nous dominons encore un moment les gorges de la Dourbie, avant de plonger vers les gorges du Trévezel, vallée sauvage et perdue au pied du Mont Aigoual, que l'on explore jusqu'à La Mouline. Il est temps alors de « nager dans le Bonheur », ou tout du moins dans sa vallée puisque nous longeons le ruisseau du Bonheur. Celui-ci disparait dans le célèbre abîme de Bramabiau, prés de Camprieu. Pour finir, un parcours de crêtes entre causse Noir et Mont Aigoual permet de rejoindre les gorges de la Jonte à Meyrueis.. Nuit en gîte à Meyrueis.
Distance parcourue : env. 46 km / Dénivelée positive : env. 1350 m
C'est au vaste Causse Méjean que nous nous attaquons aujourd'hui. La montée vers le plus haut des Causses ne se laisse pas faire, mais à mesure que nous prenons de l'altitude, nous sommes récompensés par les vues sur les toits de Meyrueis, et sur les monolithes calcaires du chaos de Pauparelles. Une fois sur le plateau, nous sommes happés par ces grands espaces et l'isolement. Nous restons en bordure de Causse, cap à l'ouest, tout d'abord par une piste pour absorber cette immensité... Nous passons devant l'entrée de l'Aven Armand, l'occasion de poser son VTT et de découvrir, sur les traces de Martel, père de la spéléologie, ce gouffre impressionnant aux 400 stalagmites !!! Encore quelques kilomètres de causses avant de plonger vers les Vignes, au fond des gorges du Tarn, par l'intermédiaire d'un sentier virevoltant. Il faut alors remonter sur l'autre versant par la route... Ensuite, promis-juré, seulement des sentiers de rêve : toute la corniche du causse de Sauveterre et à partir de St-Rome de Dolan, une série de singles en balcon dans la falaise au cœur du magnifique Cirque de St-Marcellin. Quatre cent mètres plus bas, le Tarn et ses minuscules canoés ! Descente technique sur Liaucous et Le Rozier/Peyreleau où la Jonte rejoint le Tarn dans un décor de rêve. Nuit en gîte au Rozier ou à Peyreleau
Distance parcourue : env. 55 km / Dénivelée positive : env. 1400 m
Les jours se suivent et se ressemblent.... C'est le jeu quand on dort en fond de vallée entre 2 causses... il faut forcément monter de bon matin ! C'est par un enchainement de pistes, routes et singles que nous atteignons le Causse Noir. Il doit son patronyme au fait que, contrairement aux autres plateaux, celui-ci était recouvert par de nombreuses forêts de pins. Quoique peu étendu, il est fort intéressant à parcourir, car il recèle de nombreux sites ruiniformes. Ce causse n'est pas avare de surprises, car outre les curiosités géologiques, nous découvrirons en cours de route une abbaye abandonnée et des villages pittoresques. Un très beau et long sentier permet de rejoindre le remarquable village de la Roque Sainte Marguerite, niché au creux de la vallée de la Dourbie. Mais la journée n'est pas finie, il faut encore remonter sur le plateau du Larzac afin de profiter de ses grandes étendues et des derniers points de vue de notre périple. Il est temps de rejoindre les bords de la Dourbie. C'est en longeant la rivière que nous rejoignons Nant, terme de notre périple. Mais nous ne saurons trop vous conseiller de fournir un dernier effort pour visiter le pittoresque village perché de Cantobre en chemin !
Distance parcourue : env. 50 km / Dénivelée positive : env. 1400 m
Les distances et dénivelées sont données à titre indicatif.
Nous quittons la petite ville de Nant et la vallée de la Dourbie grâce à un sentier à flanc de montagne, sous le regard de la curiosité géologique du coin, le Roc Nantais. Nous prenons pied sur le tout petit causse Bégon et franchissons successivement les cols de la Pierre Plantée et des Rhodes. Nous dominons encore un moment les gorges de la Dourbie, avant de plonger vers les gorges du Trévezel, vallée sauvage et perdue au pied du Mont Aigoual, que l'on explore jusqu'à La Mouline. Il est temps alors de « nager dans le Bonheur », ou tout du moins dans sa vallée puisque nous longeons le ruisseau du Bonheur. Celui-ci disparait dans le célèbre abîme de Bramabiau, prés de Camprieu. Pour finir, un parcours de crêtes entre causse Noir et Mont Aigoual permet de rejoindre les gorges de la Jonte à Meyrueis.. Nuit en gîte à Meyrueis.
Distance parcourue : env. 46 km / Dénivelée positive : env. 1350 m
C'est au vaste Causse Méjean que nous nous attaquons aujourd'hui. La montée vers le plus haut des Causses ne se laisse pas faire, mais à mesure que nous prenons de l'altitude, nous sommes récompensés par le vue sur les toits du village de Meyrueis en contrebas, et par celle sur les monolithes calcaires du chaos de Pauparelles. Une fois sur le plateau, nous sommes happés par ces grands espaces et l'isolement. Cap au nord, le causse nous appartient !! Nous traversons le mystérieux chaos de bloc de Nîmes le Vieux, et seuls des hameaux et villages perdus viennent ponctuer notre traversée en ces lieux déserts. Plus on s'approche du rebord oriental du causse, plus la vue est saisissante, jusqu’à arriver en rebord de falaise. En contrebas, Florac, le village aux trois rivières. Notre progression se poursuit en aplomb des gorges du Tarn. Arrivés à à l'extrémité du plateau, une très belle descente vers Castelbouc nous attends. Il ne nous reste alors plus qu'à longer le Tarn pour rejoindre le beau village de Sainte Enimie. Nuit en gîte ou en hôtel à Sainte Enimie.
Distance parcourue : env. 50 km / Dénivelée positive : env. 1400 m
C'est un début en douceur le long du Tarn qui nous attends, car c'est par un single joueur que nous rejoignons Saint Chély. Ce village si particulier, avec ses maisons accrochées au dessus du Tarn, ses cascades, mérite que l'on s'y arrête quelques minutes ! Nous regagnons le Causse Méjean quitté la veille, et dont nous allons cette fois-çi explorer le versant occidental. Le passage au Roc des Hourtous nous offre un sublime belvédère sur les gorges du Tarn. La descente pour rejoindre Les Vignes et le fond de vallée se fait par l'intermédiaire d'un sentier virevoltant. Il faut alors remonter sur l'autre versant par la route... Ensuite, promis-juré, seulement des sentiers de rêve : toute la corniche du causse de Sauveterre et à partir de St-Rome de Dolan, une série de singles en balcon dans la falaise au cœur du magnifique Cirque de St-Marcellin. Quatre cent mètres plus bas, le Tarn et ses minuscules canoés ! Descente technique sur Liaucous et Le Rozier/Peyreleau où la Jonte rejoint le Tarn dans un décor de rêve. Nuit en gite au Rozier ou à Peyreleau.
Distance parcourue : env. 55 km / Dénivelée positive : env. 1550 m
Les jours se suivent et se ressemblent.... C'est le jeu quand on dort en fond de vallée entre 2 causses... il faut forcément monter de bon matin ! C'est par un enchainement de pistes, routes et singles que nous atteignons le Causse Noir. Il doit son patronyme au fait que, contrairement aux autres plateaux, celui-ci était recouvert par de nombreuses forêts de pins. Quoique peu étendu, il est fort intéressant à parcourir, car il recèle de nombreux sites ruiniformes. Ce causse n'est pas avare de surprises, car outre les curiosités géologiques, nous découvrirons en cours de route une abbaye abandonnée et des villages pittoresques. Un très beau et long sentier permet de rejoindre le remarquable village de la Roque Sainte Marguerite, niché au creux de la vallée de la Dourbie. Mais la journée n'est pas finie, il faut encore remonter sur le plateau du Larzac afin de profiter de ses grandes étendues et des derniers points de vue de notre périple. Il est temps de rejoindre les bords de la Dourbie. C'est en longeant la rivière que nous rejoignons Nant, terme de notre périple. Mais nous ne saurons trop vous conseiller de fournir un dernier effort pour visiter le pittoresque village perché de Cantobre en chemin !
Distance parcourue : env. 50 km / Dénivelée positive : env. 1400 m
Les distances et dénivelées sont données à titre indicatif.
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Note moyenne des voyageurs :
Merci de votre retour. Cela peut arriver en effet, notamment sur les hébergements à fort passage de randonneurs. Nous allons communiquer l'information à l'hébergeur.
Merci pour votre retour ! Je viens de demander à Olivier ce qu'il vous avait préparé pour le déjeuner ; il a fait comme tous nos guides, avec des produits locaux et de bonne qualité (fromage, pain, fruits ou compote etc..) et salade bio de bonne qualité. Il y a aussi le dîner à Nant qui était trop "gastronomique" alors que nous VTTistes attendons certes de la qualité, mais aussi des féculents en quantité ! Nous travaillons avec le même hôtel depuis des années, pourtant. Nous allons leur préciser tout ça, de nouveau.
